Le Centre Hubertine Auclert a produit un état des lieux des acteurs et actrices agissant pour l’égalité filles-garçons dans le premier degré, en réponse à une demande grandissante d’éducation à l’égalité dans les écoles maternelles et primaires. Ainsi, cette note de synthèse permet d’identifier plusieurs freins à l'égalité filles-garçons en maternelle et primaire, et notamment le manque d’un cadre institutionnel spécifique entrainant un manque de systématisation des actions ponctuelles et localisées.
Le Centre Hubertine Auclert a produit un état des lieux des acteurs et actrices agissant pour l’égalité filles-garçons dans le premier degré, en réponse à une demande grandissante d’éducation à l’égalité dans les écoles maternelles et primaires. Ainsi, cette note de synthèse permet d’identifier plusieurs freins à l'égalité filles-garçons en maternelle et primaire, et notamment le manque d’un cadre institutionnel spécifique entrainant un manque de systématisation des actions ponctuelles et localisées. Face au constat partagé de l’importance d’agir avant l’arrivée des élèves au collège, il semble nécessaire de prévoir des budgets spécifiques et d’accompagner les différent∙es acteurs et actrices issu∙es d’associations, de l’Éducation nationale et des collectivités territoriales à agir ensemble pour systématiser les actions en faveur de l’égalité filles-garçons dans le premier degré. Plusieurs bonnes pratiques et initiatives sont présentées et témoignent de la capacité des associations à agir de concert avec les collectivités et les différents acteurs et actrices de l'Éducation nationale, pour éduquer à l'égalité en maternelle et primaire. Cette note est basée sur 18 entretiens menés en Île-de-France entre avril et juin 2022, ainsi qu'un atelier d’échange d’expériences sur les interventions en milieu scolaire dans le premier degré a réuni une quarantaine de représentant·es d’associations (franciliennes et non-franciliennes).